-266 Monga, film taiwanais
Le cinéma taiwanais, même s'il a une certaine réputation, n'est vraiment pas ma tasse de thé, à deux ou trois film près. Je ne sauverai cependant aucun film de Cai Ming-liang, où je ne perçois que de l'ennuis, et une volonté acharnée de faire résolument intellectuel et moderne. Le film suivant est cependant une vraie exception.
Il en va donc tout autrement du film de Niu chengze, MONGA. Celui-ci sorti pour le Nouvel An chinois, a fait ici l'effet d'une vraie bombe. Il traite de la mafia il y a 25 ans, à travers le portrait de cinq adolescents, dans le quartier de Wanhua où les triades contrôlent les temples. C'est tout d'abord très amusant, un humour typiquement taiwanais, puis on rit de moins en moins au fur et à mesure que ces jeunes apprentis mafieux découvrent la vrai visage de cette vie de gangster qu'ils ne croyaient faite que de plaisirs. Ca devient ensuite de plus en plus violent, jusqu'à se noyer dans le drame complet sur un ton très (presque trop) chinois. C'est magnifiquement filmé et joué par de jeunes acteurs magnifiques dont Ethan Ruan, Mark Chao et Rhydian Vaughan.
Il en va donc tout autrement du film de Niu chengze, MONGA. Celui-ci sorti pour le Nouvel An chinois, a fait ici l'effet d'une vraie bombe. Il traite de la mafia il y a 25 ans, à travers le portrait de cinq adolescents, dans le quartier de Wanhua où les triades contrôlent les temples. C'est tout d'abord très amusant, un humour typiquement taiwanais, puis on rit de moins en moins au fur et à mesure que ces jeunes apprentis mafieux découvrent la vrai visage de cette vie de gangster qu'ils ne croyaient faite que de plaisirs. Ca devient ensuite de plus en plus violent, jusqu'à se noyer dans le drame complet sur un ton très (presque trop) chinois. C'est magnifiquement filmé et joué par de jeunes acteurs magnifiques dont Ethan Ruan, Mark Chao et Rhydian Vaughan.